15 morts à cause d’attaques terroristes lors de l’épidémie d’Ébola à Congo
Congo est sur la mauvaise pente: la population est non seulement frappée par le virus ébola, mais aussi des forces à Beni en attaquent.
Nexter.org a observé tout les détailles sur l’épidemie à Congo.
Par: medias-presse
Le début, c’était quand?
Le 1er août à Mangina,10-ème épidémie d’Ebola sur le sol congolais a été déclarée. Au cours du temps, l’épicentre de l’épidémie s’est déplacé à Beni, fief du groupe armé ADF (Allied Democratic Forces) qui multiplie les attaques contre des civils, compliquant la riposte sanitaire.
Les autorités congolaises ont déclaré samedi faire face désormais à « une deuxième vague » de l’épidémie. « Cette deuxième vague est le résultat des résistances communautaires à la riposte, des villes mortes, de l’insécurité et de la faible collaboration des tradi-praticiens dans les activités de riposte alors qu’ils sont en première ligne », a expliqué le Dr Oly Ilunga, ministre congolais de la Santé, au cours d’une conférence de presse.
Selon le ministère congolais de la Santé, un membre du personnel de la mission des Nations unies au Congo (Monusco) a pour la première fois été contaminé par Ebola.
La vaccination
Par: La Croix
Comme l’indique digitalcongo.net, les efforts de vaccination en ceinture ont permis d’atteindre de taux de couverture élevé parmi les populations éligibles (près de 90%), mais cette méthode repose entièrement sur un suivi efficace des contacts. Depuis le début de la vaccination contre le virus Ebola le 8 août 2018, 18.465 personnes ont été vaccinées dont 7.999 à Beni, 4.391 à Mabalako, 1.663 à Mandima, 1.392 à Katwa, 1085 à Butembo, 570 à Masereka, 434 à Bunia, 355 à Tchomia, 240 à Komanda, 121 à Oicha, 110 à Musienene et 105 à Kalunguta.
Le rebelle d’ADF
Par: nationalpost
Des soldats congolais en patrouille dans une zone civique ont été tués par des rebelles des forces démocratiques alliées à Beni, dans l’est du Congo. L’armée congolaise a annoncé dimanche 21 octobre 2018 que des rebelles avaient attaqué un centre de traitement du virus Ebola à Beni, faisant plus d’une douzaine de civils morts et enlevés une douzaine d’enfants, ce qui pourrait forcer la suspension des efforts de confinement du virus dans la région.
En colère contre les meurtres, les habitants ont transporté quatre des corps à la mairie, où la police les a dispersés avec du gaz lacrymogène. Alors que certains agents de santé se sont réfugiés dans un hôpital local, les manifestants ont détruit un certain nombre de bâtiments gouvernementaux et bloqué tout le trafic, a déclaré le ministère de la Santé du Congo.
“Je ne sais pas où aller car les ADF menacent du côté de Oicha-Eringeti, où il y a d’autres membres de ma famille. Nous sommes entre le marteau et l’enclume, les ADF d’un côté et Ebola de l’autre”, soupire auprès de l’AFP un cultivateur de 38 ans, père de cinq enfants.
Ce qui nous attend au futur
Par: La Tribune Afrique
Selon le Ministère de la Santé RDC, on en bave des ronds de chapeau:
Par: twitter
Quant à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), elle estime que l’épidémie d’Ebola est “très préoccupante” mais ne constitue pas “pour l’instant” une urgence sanitaire “de portée internationale”.
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